– Le Goujon folichon : cabaret-spectacle du 13 octobre.
JDH chauffa la salle en présentant de vieux documents sur la guinguette : historique, cartes postales, menus, articles de presse…
Évidemment, tout Juziers avait répondu présent pour en apprendre un peu plus sur notre fameux Goujon, dont M. Fanthou, petit-fils de la tenancière, s’apprêtait à révéler son caractère très très … folichon. Les propos étaient à la hauteur de nos espérances, humour, malices, nostalgie, grivoiseries : un spectacle mené tambour battant par un duo de qualité : Julien Fanthou, tour à tour chanteur, conteur, danseur, travesti et son accordéoniste Gérald Elliot, rêveur ambigu, langoureux et mélancolique.
Un spectacle dont la salle regretta qu’il ne se prolonge.
Le verre de l’amitié permit à la famille Fanthou d’évoquer leurs souvenirs de Juziers.
– Célébration du centenaire de l’armistice.
Afin de commémorer le centenaire de l’armistice comme il se doit, nous avons concentré nos efforts sur cette exposition, mettant de côté les Journées du Patrimoine cette année. Nous avions à cœur de mettre notre village au premier plan : documents communaux, familiaux, événements vécus et subis par les Juziérois (réquisitions & restrictions).
Enfin, parcours de trois poilus, enfants du pays : Jules Motte, blessé en 1915 – Albert Chappée, décédé en octobre 1918 – Jules Ozanne, rescapé.
Quelques photos de la cérémonie communale et pour atténuer la tristesse de notre monuments aux Morts, un message d’espérance avec l’oiseau de la Paix.
– Femmes en première ligne, du 16 novembre.
JDH présenta des panneaux « Femmes pendant la guerre » œuvrés par l’Association paroissiale lors des Journées du patrimoine de 2014, bonne introduction à la représentation théâtrale des « Comédiens de la tour ». Le rôle des femmes fut primordiale dans ces années de guerre pour tous les belligérants. Elles assumèrent le dur travail des hommes.
Conformité d’esprit entre les photos affichés et les dialogues de la troupe : les dures conditions de travail, le courage, les attentes difficiles, les funestes nouvelles, les privations… Rien n’était oublié.
Un grand merci à ces acteurs pour leurs émouvantes et sincères interprétations.
– Joyeux Noël, du 24 novembre.
Film de 2005 sur la Grande Guerre : une trêve authentique où les combattants oublient cette horrible guerre. Nous avons eu le privilège de détenir les carnets du soldat de 2ème classe, François Gorças qui relate cette brève trêve. Dure réalité quand on sait que les combats dureront encore quatre longues années!